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Origines physiques des phénomènes : début du livre premier (Introduction 1ère partie)
Premier principe : rien ne naît de rien
Deuxième principe : rien ne se perd, rien ne sombre au néant
Troisième principe : tout se transforme
Quatrième principe : l'atome
Sixième principe : corps et vide forment la substance des choses
Nulle tierce substance en la nature
De la matiere ou du vide tout est le propre ou l'accident
L'obscure clarté : éloge du poème
Chant deuxième : les mouvements de la matière
De la bonne santé de la chair
Et le libre mouvement des vivants
Car sans diversité point d'identité
Le premier symbole en est la terre
L'être bienheureux et incorruptible
Hymne à epicure : sa leçon est le souverain remède contre la peur et la mort
Ame et esprit sont en étroite union
Des sens de l'âme et de l'esprit
Péroraison la mort n'est rien pour nous
Vanité du divertissement, connaissons-nous nous mêmes
L'erreur vient de l'esprit non des sens
L'inventeur de la sagesse servit mieux les hommes que ceres, liber ou hercule
Magnitude, mouvement et origine du soleil et de la lune
Création des villes, apparition de l'inégalité
Eloge d'athènes, patrie d'epicure
Introduction : qui est bernard combeaud ?
La rigueur métrique pour une traduction de lucrèce
Le rythme participant direct de la pensée
Les rapports de lucrèce et d'epicure
Lucrèce : un savant, un moraliste et un artiste
Le clinamen : la dynamique des fluides comme modèle de monde
De natura rerum » : « la naissance des choses
La dimension explosive de « de natura rerum
Lucrèce et la conviction matérialiste
Un ouvrage adressé à memmius : lucrèce et l'absence de l'amitié
Lucrèce et l'absence de l'amitié
Lucrèce et la relation amoureuse
La place de l'homosexualité
Lucrèce et l'absence de la politique
Les traductions antérieures de lucrèce
Lecture de « la peste » par bernard combeaud
℗© Frémeaux & Associés
