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Dans cet épisode, Mélissa discute avec deux personnes qui ont suivi leur coeur et leur tête, sans se soucier du jugement des autres. Il y a 2 ans, Jennyfer s’est dit qu’elle avait le choix d’être heureuse ou malheureuse dans la vie. Elle a choisi d’entreprendre sa transition pour être bien avec elle-même.  Pour Séré, c’est lorsqu’iel avait 17 ans qu’iel a rencontré d’autres personnes trans et non-binaire et qu’iel a réalisé que c’était quelque chose de possible. Sa transition ne s’est cependant pas faite sans heurts…

Le premier épisode aborde l’infidélité et les relations toxiques. Dans cet épisode, Jeanne se confie sur sa relation avec un homme marié dont elle est la maîtresse depuis plus de 10 ans. Ismaelle a quant à elle entretenu une relation avec un homme toxique pendant plus de 6 ans. Entrant dans cette relation suite à une agression sexuelle, la trame narrative de leur histoire fut marquée par la peur et l’insécurité.

Corinne et Caroline souffrent toutes deux d’un trouble du comportement alimentaire. En discutant avec Mélissa Bédard, chacune s'ouvre sur sa manière de négocier avec l’image corporelle et de jongler avec le contrôle de son poids. Corinne développe sa maladie à l’âge de 15 ans alors qu’elle arrête de suivre un entraînement élite de cheerleading. Elle développe alors une boulimie hors de contrôle qui, combinée à sa puberté, lui fait prendre plusieurs kilos. Cette perte de contrôle sur son état, son physique et son alimentation la mène à essayer plusieurs diètes présentées sur les médias sociaux. Cachée derrière une intention de se reprendre en main, elle débute un régime qu'elle décrit comme addictif. Caroline a souffert d’anorexie mentale de 11 à 17 ans, maladie dont elle ne se remettra probablement jamais selon elle. Étant de nature perfectionniste, elle commence rapidement à contrôler son image corporelle.

Cet épisode explore les troubles de santé mentale en analysant les chemins de vie de deux femmes vivant avec deux troubles différents : la dépression et le trouble bipolaire de type 1. De nature solitaire, Natacha n’avait jamais ressenti de moments dépressifs. Mais une grande rupture est venue tout déséquilibrer. À partir de ce moment, elle ne pouvait plus sortir du lit, les tâches simples devenaient très difficiles, ce qui lui mit la puce à l’oreille. Suite à de nombreuses crises d’angoisses, elle ira consulter et obtiendra un diagnostic de dépression, avec lequel elle doit encore jongler. Suite à une psychose, Cassandre développe un trouble bipolaire de type 1. Selon elle, le trouble bipolaire a toujours été en elle, mais s’est développé davantage à la suite de sa psychose, qui lui fera vivre un état psychotique pendant 4 mois. Heureusement, une médication lui permet aujourd'hui de vivre sa vie presque normalement.

Cet épisode va à la rencontre de deux travailleuses du sexe. Sans jugement et sans préjugés, Mélissa Bédard discute avec ces femmes pour mieux comprendre leurs enjeux et les motivations derrière leur choix de carrière. Emanuelle et Mélodie sont deux anciennes travailleuses du sexe ayant des parcours différents. Emmanuelle a été escorte indépendante pendant trois ans. Pour sa part, Mélodie a exploré différents rôles dans son ancienne vie : téléphoniste érotique, modèle webcam, serveuse sexy, critique de photos de pénis, correspondante érotique et escorte.

Dans cet épisode, Mélissa Bédard explore les idées préconçues et les tabous entourant les femmes croyantes. Trois femmes y parlent librement de leur vie et de leur foi, tout en abordant leur façon de prendre leur place en tant que femme dans leur religion. Nous allons à la rencontre de Nafija, une femme musulmane de tradition sunnite. Pratiquante, elle dévoue beaucoup une grande partie de sa vie à sa religion. Nous discutons aussi avec Johanne, une femme qui se considère à la fois pratiquante chrétienne et féministe. Finalement, nous échangeons avec Héloïse, une femme ayant grandi dans une famille chrétienne évangélique.

Avec Nina et Océane, Mélissa Bédard explore le parcours de vie de deux femmes qui n’ont pas d’enfants, par choix ou non. Les tabous entourant les femmes qui n’ont pas d’enfant sont omniprésents dans notre société. Nina sait depuis l’âge de 8 ans qu’elle ne veut pas avoir d’enfants. Elle partage les frustrations liées aux pressions sociales entourant la maternité et le refus d’avoir une famille. La vie a fait d’elle une belle-mère, ce qui renforce ultimement sa décision de ne pas avoir d’enfants. Océane a découvert, une fois enceinte de 6 mois et demi, qu’elle ne pouvait pas porter une grossesse à terme en raison d’une maladie auto-immune qu’elle a développée pendant l’enfance. Ce dur moment a obligé Océane à faire un grand deuil, autant de l’enfant qu’elle portait que de son rêve de famille.

Dans cet épisode, Mélissa Bédard va à la rencontre de femmes travaillant dans des emplois atypiques. Emna est une ancienne journaliste sportive et elle est devenue humoriste depuis peu. Elle dit à la blague avoir un fétiche pour les boys club. D’abord mannequin, Sandrine a changé de métier pour devenir charpentière-menuisière. Elle a vécu beaucoup de harcèlement et d’intimidation sur les chantiers de construction, mais cela ne l’a pas empêché de poursuivre son travail qu’elle adore.

À l’ère où de nombreuses femmes rêvent de l’amour avec un grand A, certaines femmes ont fait le choix du célibat. Dans cet épisode, Mélissa Bédard rencontre Ismaëlle qui a passé la majorité de sa vie célibataire et Delphine, qui souhaite rencontrer l’amour, mais qui n’y arrive pas. Les relations amoureuses d’Ismaëlle se sont essentiellement déroulées lorsqu’elle était jeune. De nombreuses expériences négatives avec les hommes l’ont toutefois marquée et aujourd’hui, elle est célibataire et souhaite le rester. Delphine voit ses amis développer de longues relations et elle aimerait que ça lui arrive aussi. Ses amis achètent des propriétés en couple, ils ont des enfants, ils organisent des voyages de famille. Elle en rêve aussi, mais elle ne le peut pas, parce qu’elle ne trouve pas l’amour.

Cet épisode traite du corps. Qu’est-ce que le corps parfait? Qu’on soit gros, qu’on soit grand, qu’on soit petit ou mince, l’idéal du corps parfait semble inatteignable. Et si la beauté résidait dans le bien-être et l’acceptation de soi? Mélissa Bédard va à la rencontre d’Andréanne qui a toujours été plus grande et plus grosse que les autres. Au secondaire, on l’intimidait presque tous les jours. Maintenant elle est beaucoup plus outillée et elle va toujours défendre les personnes qui ne sont pas en position de le faire. Cela fait maintenant 10 ans que Justine pèse 85lbs. Elle se bat tous les jours avec son métabolisme pour garder son poids. Un poids qui n'a jamais été considéré comme ''santé'' dans les yeux des autres. Ça été un choc pour Justine quand elle a réalisé qu’elle vivait du skinny shaming.

Dans cet épisode, Mélissa Bédard discute de libido avec deux femmes pour qui la libido est soit très présente, ou pas du tout!  Isabelle a découvert à l'âge de 39 ans que l'asexualité était une possibilité, ce qui a enfin expliqué ses échecs amoureux des 25 années précédentes. Isabelle est à 100% asexuelle. Elle n’est pas attirée par d’autres personnes et elle n’a pas du tout de libido. Mais elle nous explique que le spectre peut être très large pour une personne asexuelle. Andréanne a quant à elle une forte libido. Si elle le peut, c’est chaque jour qu’elle souhaite avoir des relations sexuelles avec son partenaire. Par contre, elle ne se considère pas comme une nymphomane.

Dans cet épisode, Mélissa Bédard rencontre des femmes qui vivent dans des modèles de couples qui sortent de la norme. Il y a quelques années, Nathasha et son ancienne copine ont tenté d’ouvrir le couple. Quand elles ont commencé à explorer le polyamour, les deux ne connaissaient pas vraiment la définition et les règles entourant cette pratique. Aujourd’hui, Nathasha est dans une relation de polyamour avec un conjoint non-binaire. Isabelle est polyamoureuse depuis 2017. Elle vit avec son conjoint Éric depuis 3 ans… Mais elle a aussi d'autres partenaires, qui ont eux aussi d'autres partenaires. Pour Isabelle : l'amour, ça se multiplie et ça s'additionne, ça ne se divise ni ne se soustrait pas!